Significatogenèse et Scatogenéité

mardi 27 mai 2008

Conceptissimo

Qu'est-ce qu'une Catalepse?
La question reste ouverte mais il se joue ici même l'avenir de son devenir agissant... puisque le mot en soi ne signifie rien.

On peut cela dit par voie de significatogenèse penser que l'analepse désignant le retour dans le temps, la catalepse serait la remontée vers le futur depuis un point d'ancrage passé. On peut parler de catalepse lors d'un sentiment fatal proche du "déja vu".
On peut aussi en parler lorsqu'un raisonnement est donné à rebours, car il faut raisonner de manière contrefactuelle pour recevoir les signes à propos. Sans cela, c'est à dire sans raisonner par hypothèses instantaées rétroactives, l'esprit se gangrène. Il fuit. Il arpente les alentours des arpèges de l'ardèche vinicole. Il Vit Nicole. Vit.

Karse

Car ce qui est non vrai est toujours bien trouvé.

Les proverbiales

Un bon titre pour un recueil de proverbes et historiettes commentés.

"Che non e vero, bien trovato"
proverbe modifié par un certain Nathan.

"Se non è vero, è ben trovato"
proverbe italien original

Quelles sont les différences fondamentales entre les deux formules?

Gènes et Tiques

Pourquoi donc l'esprit s'arrêterait-il dès lors qu'un rythme par lui est dicté? Si une pulsation régulière, aussi torturée soit-elle en son for intérieur, peut voir le jour, alors elle peut être évaluée.
Elle prend sa place, son dû, dans la grande hiérarchie des possibles: elle devient incommensurable en tant même qu'elle est la répétition aussi fidèle que possible de son antécédant; chaque pulsation trouve son principe dans une nouvelle vibration interne.

Faire l'analogie entre le sens et le son est aisé, puisque tous deux, malgré tous les tumultes par lesquels ils passeront, sembleront continus pour l'esprit bien pensant. Si l'esprit pense bien, il investit son potentiel dans les objets qu'il manipule, et en cela il y croit.
Car bien fonctionner, si une quelconque norme peut être pensée, ne peut être dit que d'une chose qui tire quelque bénéfice de son fonctionnement; dans le cas inverse l'organisme dépense à perte et, à terme, s'auto-détruit.

Or pour que l'organisme fonctionne correctement, il doit cesser de prendre garde à tous les paramètres qui pourraient le prêter à confusion, de manière à investir son attention dans l'objet décrété digne d'intérêt.
Dès lors qu'une série de tels objets, établie par l'expérience, donnera lieu en chacun des moments de son développement à une forme totale la représentant, elle pourra avoir une signification.
Il faut bien admettre que c'est ce qui se passe dans tous les cas, à savoir que l'ensemble empirique (empirique pour l'esprit; déja idéel) des objets rencontrés au cours de la réflexion, quand bien même il est fait d'éléments médiocres liés médiocrement, semble signifier quelque chose: l'insignifiance est la signification suprême corollaire aux nombres élevés.

Et les pensées éparses, peuvent-elles connaître en quelque manière que ce soit un droit d'ascendance, de paternité voire peut-être, avec quelque bonheur, de maternité sur le flot réflexif hyper-construit auquel elles cèdent si volontiers la place?
Ou faut-il que leur lien soit de type érotique, se pourchassant et se fuyant à l'infini? Ne tomberait-on pas en diérèse, pour peu que la familiarité soit l'attribut majeur de l'érotisme?

Les limbes de la pensée sont à l'image d'un pélican devenu lampe de chevet: mauvaises couleurs et membres rabougris.
Peu de vie à l'orée de quel sous-bois?

Jusqu'où continue donc l'alternance pédante, seule réaction possible à la binarité quintessentielle des métastructures psychosociales qui nous surdéterminent très-abondament?

La lenteur comme symbole de perversité monumentale: tout être ayant le luxe de prendre et de perdre son temps possède de par là même une conscience sur ses actions qui les inscrivent dans un cadre bien plus large que celui que l'esprit croyait se pouvoir octroyer en premier lieu.

Droiteur et justeur, comme justesse, justice, justine et autres droitices donc le nom ne sera point mentionné en ces désertiques écueils du sème que sont les banlieues étourdies des espaces incontrôlables de la pensée; on prétend à raison qu'ils sont incontrôlables. Mais dès lors qu'ils peuvent être présentés, n'en ont-ils pas le devoir? Quand la pensée peut se concrétiser à l'instant, subsiste-t-elle en tant que telle? Quelle organisation peut-il rester dans une conscience vidée de toutes ses responsabilités par l'injonction contrefactuelle constante de production qui obtempère discidieusement de manière à laisser parvenir à sa fin le besoin incinérateur du consomateur sociologiquement délimité?

Plus de fin à la pensée, car plus de fin au code html. l'infini est dénombrable, mais il est humainement inconcevable: le nombre de lettres et autres signes simples qu'internet pourrait en ce jour de mercredi 28 mai 2008 contenir surpasse largement toute la production humaine à ce jour et pour dix siècles encore, en termes de signes simplement. toute dimension illustrative étant le luxe de l'économie du signe. le signe montre, le dessin illustre. cet intervalle est bénéfique. le besoin de bénéfique a donné l'art abstrait.
enough.

lundi 3 mars 2008

La Lucidité Onirique ou le Palimpseste organo-dynamique du Sens(Description scripturale)

La lucidité onirique parfois peut s’apparenter a un fil escarpe d’or que l’on peut a des moments précis et spécifiques saisir et laisser notre conscience s’y iriser, y prendre de l’appui pour mieux se déployer en tant que champ activement propagatoire….Le rêve serait a peine une chance donnée a la conscience unilatérale de veille de se disséquer sous le bistouri d’un décorum légèrement inverti endo-réellement afin de saisir les polysémies du monde réel que l’on ne peut entièrement déchiffrer même en étant dans la plus excellente foi de constamment dilater son œil conscient afin d’engloutir le plus de strates de signification a la fois…c’est en cela que la lucidite hypnopompique et onirique engagée(cad active) pousse a cette question que voici, celle du sens et de ses plus subtiles ramifications…..le rêve comme vecteur constant et insatiable de sens , d’un excès de sens pouvant revêtir hélas si souvent le sens du non-sens absolu…mais n’est-ce pas le plus habile piège du sens que de faire que croire que le non-sens existe en général et en particulier…En somme le rêve est l’antichambre privilégiée du sens affuble du masque de l’invraisemblance, ou justement ce dernier se dépossédant épisodiquement de son masque en porte d’autres pour montrer a la conscience sa pluralité caractéristique et insidieusement fragmentaire. Réutilisant l’expérience empirique pour lui attribuer un sens qui peut-être était et qui n’est plus clairement articule au niveau de la conscience ou un sens qui aurait pu être mais qui n’apparut que fugacement lors de la danse des masques poly-oniriques (si chaotiquement elaborés ,si protéiformes d’ampleur qu’elle est réputée d’emblée difficile a suivre “linéairement” pour la Conscience toujours habillée de ces apparats de la Veille) orchestrée par ce sens du sur-sens qui fatalement si la Conscience s’arrête a un détail du rituel de la danse-tourbillon, expansion de l’imagerie subjective interne, elle s’égare dans ce qui ne pourrait que lui paraitre a posteriori re-transférée dans les eaux de la perception normale et de la conscience normative, l’expérience ou le sens suinte partout comme nec plus ultra de non –sens, cad de désordre, de directions a directionnelles, ou le point de fuite est justement l’endroit ou la Conscience buta a un des dispositifs empruntes par le rituel onirique pour se révéler a lui d’une manière plus symbolique, au lieu d’être dans le centre de la disposition la plus ouverte a ce qui lui est offerte (cad en ne rejetant ni le processus habituel de la réalité, ni en n’ excluant les processus plus alambiques, a proprement dire insolites de la significatogenèse onirique)



La Conscience afin d’être la plus lucide par des exercices de non-résistance et d’abandon au rituel image endo-hypnotique s’assurera une plus grande et plus sure stabilité de son potentiel de fusionnabilité au flux du rêve….cette lucidité gardée est l’un des premiers pas fondamentaux vers l’exhumaison des non-dits qui ne sont qu’élusivement dits a travers des imageries-symboles, des sensations fugaces , complexes mais en réalité si moins complexes a condition que l’on se mette dans la perspective de les ressentir jusqu’a l’Éveil du Sens-photophore, jusqu’au vertige ,jusqu’a ces hauteurs et cimes qui nous donnent l’impression de la DIRECTION, et de l’INTENTION. Ces masques semblent nous dire…ceci est toi vu par toi d’un certain angle mais cela est également toi vu par toi dans un angle a très peu de choses identiques---tout cela est toi, n’aie pas peur de toi-même, n’aie pas peur de tes propres constructions ego-oniriques, utilises-les pour encore mieux te déconstruire, pour mieux te connaitre t’investiguer détruis l’édifice de ton auto-endoctrinement délétère, culte ou anti-culte de ta personne afin de mieux de te connaitre---en d’autres mots GNOSI SEAUTON derrière les masques…mais la conscience parois apeurée par ces révélations qui lui paraissent frauduleuses, subreptices, et mortellement empreintes de malice se terre dans un autisme malheureusement difficile a rompre pour le shaman-avatar-symbole orchestrant le danses de sa transe interposée


Ne dit-on pas qq part que le but de la vie serait de bruler des questions? Le but de la significatogenèse onirique dirigée ne serait-elle pas de bruler des fantasmes? Afin d’en bâtir d’autres qui nous projettent toujours plus hors de nous mêmes, de nos o trop claustraux noumènes? Cela n’est pas sur que ce soit la seule et définie fonction de la Direction lucide du rêveur sur son rêve mais assurément l’une de ses innombrables myriades d’emploi…l’exercice de l’empire de la luci-dite est a peu près infinie (lumière du dit, du non- dit et du sous-dit)

La Lucidité Onirique ou le Palimpseste organo-dynamique du Sens(dans le sens d'une Reverie Visuelle)



La lucidite onirique parfois peut s’apparenter a un fil escarpe d’or que l’on peut a des moments precis et specifiques saisir et laisser notre conscience s’y iriser, y prendre de l’appui pour mieux se deployer en tant que champ activement propagatoire….Le reve serait a peine une chance donnee a la conscience unilaterale de veille de se dissequer sous le bistouri d’un decorum legeremennt inverti endo-reellement afin de saisir les polysemies du monde reel que l’on ne peut entierement dechiffrer meme en etant dans la plus excellente foi de constamment dilater son oeil conscient afin d’engloutir le plus de strates de signification a la fois…c’est en cela que la lucidite hypnopompique et onirique engagee(cad active) pousse a cette question que voici, celle du sens et de ses plus subtiles ramifications…..le reve comme vecteur constant et insatiable de sens , d’un exces de sens pouvant revetir helas si souvent le sens du non-sens absolu…mais n’est-ce pas le plus habile piege du sens que de faire que croire que le non-sens existe en general et en particulier…En somme le reve est l’antichambre privilegiee du sens affuble du masque de l’invraisemblance, ou justement ce dernier se depossedant episodiquement de son masque en porte d’autres pour montrer a la conscience sa pluralite caracteristique et insidieusement fragmentaire.Re-utilisant l’experience empirique pour lui attribuer un sens qui peut-etre etait et qui n’est plus clairement articule au niveau de la conscience ou un sens qui aurait pu etre mais qui n’apparut que fugacement lors de la danse des masques polyoriniques (si chaotiquement elaboree,si protei-forme d’ampleur qu’elle est reputee d’emblee difficile a suivre “lineairement” pour la Conscience toujours habillee de ces apparats de la Veille) orchestree par ce sens du sur-sens qui fatalement si la Conscience s’arrete a un detail du rituel de la danse-tourbillon, expansion de l’imagerie subjective interne, elle s’egare dans ce qui ne pourrait que lui paraitre a posteriori re-transferee dans les eaux de la perception normale et de la conscience normative, l’experience ou le sens suinte partout comme nec plus ultra de non –sens, cad de desordre, de directions a directionnelles, ou le point de fuite est justement l’endroit ou la Conscience buta a un des dispositifs empruntes par le rituel onirique pour se reveler a lui d’une maniere plus symbolique, au lieu d’etre dans le centre de la disposition la plus ouverte a ce qui lui est offerte (cad en ne rejetant ni le processus habituel de la realite, ni en n’ excluant les processus plus alambiques, a propement dire insolites de la significatogenese onirique)



La Conscience afin d’etre la plus lucide par des exercices de non-resistance et d’abandon au rituel image endo-hypnotique s’assurera une plus grande et plus sure stabilite de son potentiel de fusionnabilite au flux du reve….cette lucidite gardee est l’un des prmiers pas fondamentaux vers l’exhumaison des non-dits qui ne sont qu’elusivement dits a travers des imageries-symboles, des sensations fugaces , complexes mais en realite si moins complexes a condition que l’on se mette dans la perspective de les ressentir jusqu’a l’Eveil du Sens-photophore, jusqu’au vertige ,jusqu’a ces hauteurs et cimes qui nous donnent l’impression de la DIRECTION, et de l’INTENTION.Ces masques semblent nous dire…ceci est toi vu par toi d’un certain angle mais cela est egalement toi vu par toi dans un angle a tres peu de choses identiques---tout cela est toi, n’aie pas peur de toi-meme, n’aie pas peur de tes propres constructions ego-oniriques, utilises-les pour encore mieux te deconstruire, pour mieux te connaitre t’investiguer detruis l’edifice de ton auto-endoctrinement deletere, culte ou anti-culte de ta personne afin de mieux de te connaitre---en d’autresmots GNOSI SEAUTON derrierre les msques…mais la conscience parois apeuree par ces revelations ui lui paraissent frauduleuses, subreptices, et mortellement empreintes de malice se terredans un autisme malheureusement difficile a rompre pour le shaman-avatar-symbole orchetrant le danses de sa transe interposee


Ne dit-on pas qq part que le but de la vie serait de bruler des questions? Le but de la significatogenese onirique dirigee ne serait-elle pas de bruler des fantasmes? Afin d’en batir d’autres qui nous projettent toujours plus hors de nous memes, de nos o trop claustraux noumenes? Cela nest pas sur que ce soit la seule et definie fonction de la Direction lucide du reveur sur son reve mais assurement l’une de ses innombrables myriades d’emploi…l’exercice de l’empire de la luci-dite est a peu pres infinie (lumiere du dit, du non- dit et du sous-dit)

Processus significatogène

La significatogenèse se déroule, généralement, de manière à produire une signification qui soit conforme aux attentes du sujet. Pourquoi cela? Sans entrer dans les débats sans fin sur la nature de l'inconscient, nous nous contenterons de dire que la significatogenèse est l'objet d'une intentionnalité.
C'est à dire que lorsqu'un sens, un signe contextuel ou une signification disparate, est acquis, c'est invariablement le fait du sujet, et en fonction de ses contenus mentaux au moment de la significatogenèse.

Ainsi donc des éléments insignifiants seront reliés selon les possibilités et selon les désirs du sujet. Un signe est construit, et quand il est cru donné, c'est pour mieux satisfaire la demande à laquelle il répond.